Jonathan MVIÉ

J’ai tardé avant d’écrire ce nouveau texte parce que je me suis entêté à vouloir faire un petit montage vidéo avec photos et vidéos prises ici et là…et quand on parle de montage vidéo on parle de travail quasi-interminable.

Aussi, m’étais-je engagé à fournir une partie ”B” à ce que j’avais commencé à partager en avril dernier. S’il y a une leçon valeureuse que j’ai apprise avec le temps c’est qu’il faut respecter ses engagements, aussi petits soient-ils. Il y a quelques jours encore, je n’avais plus envie de travailler sur ce montage ou de préparer ces quelques lignes introductrices que vous lisez présentement mais ainsi vont ces combats que nous menons quotidiennement dans nos têtes : le confort endort mais un esprit nourri “agit”. J’irai donc jusqu’au bout.

L’essentiel pour moi est de partager ces quelques réflexions de M. Brown qui m’avaient tant touchées un matin tout ordinaire en 2015 alors que je me rendais au travail.

Clichés pour certains, déjà vu pour d’autres, il n’en demeure pas moins qu’avoir la chance d’être “touché” demeure une expérience unique, transformatrice et révélatrice quel que soit notre âge, notre croyance et notre histoire.

Avant donc de vous plonger dans ce petit montage, il faut une petite remise en contexte, et pour ce, je repasse un des derniers paragraphes de mon texte du 16 avril 2020 (Première partie):

Je me dirigeais vers le travail, il devait être 7h47, j’écoutais un “balado diffuseur” sur le développement personnel. Sur fond de musique inspirante, de la 29ième à la 33ième minute, j’écoutais le message de M. Brown attentivement. À la fin du message, je reculais de nouveau à la 29ième minute et je recommençais à l’écouter. J’ai fait cela 3 autres fois et me rendis compte que j’avais raté ma sortie pour le travail tellement j’étais captivé par le message. Je dois l’avouer, j’avais les larmes aux yeux. Dans la continuité des paraboles précédentes, ce message résumait l’importance de donner vie à nos idées, nos pensées et à nos rêves car ils nous ont été donnés. Que dans une vie qui peut être aussi fragile, il faut oser et essayer. Qu’Il faut prendre la responsabilité et l’engagement personnels de les réaliser et d’aller jusqu’au bout. Ce matin-là, M. Brown était dans la voiture avec moi et il me parlait…à moi.